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Friday 18 April 2014

[RwandaLibre] Fw: *DHR* Responsabilité Criminelle de Paul Kagame

 



----- Forwarded Message -----
From: pierre foucher <akagera@hotmail.fr>
To: FOUCHER Pierre <democracy_human_rights@yahoogroupes.fr>
Sent: Friday, 18 April 2014, 15:43
Subject: *DHR* Responsabilité Criminelle de Paul Kagame

 

Responsabilité Criminelle  de Paul Kagame dans le drame rwandais

 

« Les faits sont têtus a dit le président Paul Kagamé lors de son discours ou plutôt de son diatribe contre la France. Il ne croyait pas si bien dire. Oui, les faits sont têtus, l'histoire est têtue, aussi. », Shankuru Maurice  À Yahoogroopes  avr 7 à 7h15 PM

 

Document Kanyarwanda Veritas

 

 

Général  Paul Kagame,  Commandant en Chef de l'APR,

L'homme par qui le génocide est arrivé.

 


« S'ils doivent être sacrifiés pour la bonne cause, on considérera qu'ils étaient inclus dans le sacrifice » Paul Kagame déclara au Général Romeo Dallaire!

 

C'est  Paul Kagame  le  planificateur et le commanditaire de tous les massacres et assassinats politiques commis au Rwanda par ses commandos et les troupes de l'APR en missions commandées pendant la guerre d'octobre 1990, la catastrophe d'avril à juillet 1994 et après la prise du pouvoir par le FPR. Le génocide des Tutsi n'a été que le revers de la médaille, car c'est le génocide des Hutu qui avait été planifié avant même l'invasion du Rwanda par le FPR le 1er octobre 1990. Le Partenariat Intwari en donne les détails dans son Mémorandum « Génocide rwandais : Le peuple crie justice », adressé aux Nations Unies en février 2008. Le massacre des Hutu, Bantous considérés comme ennemis de la guerre de libération de la région, définie par les auteurs de ce plan, était la stratégie de la guerre privilégiée par  Paul Kagame, opposée à celle de Fred Rwigema. Le massacre des Hutu tout au long de la guerre d'octobre 1990 par le FPR provoquait les représailles populaires contre les Tutsi de l' Intérieur et Paul Kagame ne voulait que ça, afin d'accuser la partie gouvernementale de génocide. Le FPR a poursuivi les massacres des Hutu au cours de son avancée et dans les zones qu'il occupait, pendant la guerre et la tragédie d'avril à juillet 1994  et après la prise du pouvoir en juillet 1994. Cela s'inscrit dans l'exécution du plan de la guerre de libération susmentionnée. « No opposite tribe (Hutus) should be left on ground as this should be highly maintained. Hutus are regional enemies as expressed by liberation leader Y.K. Museveni under special agreements refer to Rwagitura meet enhanced by Major Paul Kagame, strictly special techniques to be embarked on in order not to attract international attention»

 

Il a créé des escadrons de la mort qu'il a  entraînés  et infiltrés dans tout le pays pour semer la discorde, les troubles interethniques, la terreur et la désolation.

 

Il a ordonné des actes terroristes par la pose des bombes à retardement dans des lieux publics tels que les dancings, dans des places publiques telles que les marchés et les gares routières et dans des moyens de transport en commun, la pose des mines anti-personnel et des grenades piégées dans des lieux fréquentés par des enfants et notamment aux écoles primaires de Sainte Famille à Kigali et de Taba-Gitarama, ainsi que des mines antitanks sur les routes fréquentées par les véhicules civils en dehors de la zone des combats.

 

Il a ordonné à ses commandants de secteurs de débarrasser de la Zone tampon  de leurs ressorts les membres des partis MRND et CDR.

 

Il est responsable de toutes les déportations et le dépeuplement des populations de certaines régions du pays effectués durant toute la guerre par l'APR.

 

Il a planifié et ordonné des multiples assassinats des leaders politiques Hutu dans le but de provoquer les troubles interethniques.

 

Dans un  message intercepté  en mars 1994 le Général Paul Kagame,  à partir de son Quartier Général à Mulindi, a ordonné  au Bataillon basé au CND et aux brigades clandestines d'instruire les femmes Tutsi mariées aux Hutu de tuer leurs maris quand le signal sera donné.

Peu de temps après, le Service de Renseignement de l'Armée Rwandaise a enregistré un cas concret.  A la fin du mois de mars 1994, une vielle dame Tutsi , identifiée seulement sous le prénom de Perussi, originaire de Ruhengeri alors résidant à Nyamirambo à Kigali, a transmis le message à une jeune dame Hutu amie de ses filles qui l'a dénoncée.

 

Les Tristes événements d'avril 1994 sont survenus avant d'interpeller la vieille dame Perussi. Toutefois cela constitue une preuve supplémentaire de planification du génocide des Hutu par le FPR.

 

Pendant la planification de la reprise des hostilités après la signature de l'Accord de paix d' Arusha, la CIA avait estimé que la nouvelle guerre allait faire au moins 500.000 victimes, la plupart étant des Tutsi. Tandis que le Général Paul Kagame disait qu'elle sera une guerre éclair et qu'elle ne fera que 50.000 victimes « seulement ».

 

En novembre 1993 l 'Ambassadeur des Etats-Unis au Rwanda Robert Flaten a fait remarquer à Paul Kagame que s'il rompt le cessez-le-feu et reprend la guerre il sera responsable des morts qui en résulteraient. Paul Kagame s'est foutu de cette mise en garde.

 

Après avoir appris le plan de Paul Kagame  d'assassiner le Président Juvénal Habyarimana et de reprendre la guerre, une éminente délégation de Tutsi conduite par Mr Charles Shamukiga s'est rendue au Quartier Général de Paul Kagame à Mulindi pour lui demander d'abandonner son plan, car ce plan exposait les Tutsi. Paul Kagame a rejeté la pétition de la délégation et a répondu que les Tutsi de l'intérieur ont commis le crime de collaborer avec le Régime Hutu.

 

Le 2 avril 1994 Paul Kagame a dit au Général Romeo Dallaire, d'une manière énigmatique,  qu'on était à la veille d'un cataclysme et qu'une fois enclenché, aucun moyen ne permettrait de le contrôler. « […] Finalement, je lui ai demandé s'il avait des questions à me poser. Il a voulu savoir ce qui se passait relativement à la proposition concernant l'admission du CDR et du PDI. J'ai regardé son visage. Jamais, je ne l'avais jamais vu aussi sombre. Il a seulement ajouté que nous étions à la veille d'un cataclysme et qu'une fois enclenché, aucun moyen ne permettrait de le contrôler ».

 

Ce cataclysme n'était rien d'autre que les massacres interethniques et la reprise de la guerre que Paul Kagame avait planifié de provoquer par l'assassinat  du Président  Juvénal Habyarimana.

 

Paul Kagame a planifié et ordonné l'assassinat du Président de la République Rwandaise ,  Juvénal Habyarimana et sa suite, de l'assassinat du Président Cyprien Ntaryamira du Burundi et sa suite le 6 avril 1994 et a déclenché ce cataclysme.

 

Concernant la responsabilité de Paul Kagame dans la catastrophe d'avril 1994, à  la page 632 de son livre « J'ai serré la main du diable », le Général Romeo Dallaire Ex-Commandant de la MINUAR dit: « Mais les morts rwandais peuvent aussi être attribués à Paul Kagame, ce génie militaire qui n'a pas accéléré sa campagne quand l'envergure du génocide fut manifeste et qui, en quelques occasions, m'a même entretenu avec candeur du prix que ses camarades Tutsi auraient à payer pour leur cause  ».

 

A la page 451 Paul Kagame dit : «  Cette guerre sera la cause des sacrifices. Si les réfugiés (Tutsi qui étaient à l'Hôtel des Mille  Collines) doivent être sacrifiés pour la bonne cause, on considérera qu'ils étaient inclus dans le sacrifice ».

 

Le Général Dallaire témoigne encore: « Quand j'ai demandé à Kagame d'aller directement à Kigali pour arrêter les massacres des Tutsi, il m'a répondu que s'il y avait un prix à payer, ce serait à ces Tutsi de le payer! ».

 

A la page 588, Dallaire dit : «… qui  au  juste tirait les ficelles tout au long de la campagne ? Je plongeai dans des pensées sinistres, me demandant si la campagne et le génocide n'avaient pas été orchestrés pour un retour du Rwanda au statu quo d'avant 1959 époque  à laquelle les Tutsi dirigeaient tout ».

 

Paul Kagame a planifié et ordonné la reprise de la guerre le 6 avril 1994 en rompant l'Accord de Paix d'Arusha. 

 

Il a rejeté la proposition de cessez-le-feu qui devait permettre de rassembler les forces de pacification, alors même que la partie gouvernementale voulait l'associer à la pacification, et cela pour assouvir sa soif du pouvoir au détriment de la population.

 

Au contraire il a attaqué les Forces de l'ordre et les acculées à leur propre défense, les empêchant de s'occuper des missions de pacification.

 

Dans une déclaration diffusée à la BBC les 9 et 10 avril 1994 il a sommé la MINUAR de quitter le Rwanda endéans 24 heures. Le Général Anyidoho, alors commandant du contingent Ghanéen et adjoint du Général Dallaire, précise  dans son ouvrage: Guns over Kigali, page 41:

« The inherent difficulties in the organizational and logistical support for the force from its inception were exacerbated when the civil war broke out and we had to withdraw our troops from the DMZ. The first major problem was an ultimatum we received from RPF High Command to withdraw our troops from-the DMZ ».

 

Il a aussi menacé les  troupes belges envoyées en mission de sécurité et d'évacuation des étrangers. Dans son témoignage devant le Comité du Sénat belge, M. Willy Claes, Ministre belge des Affaires étrangères en 1994 a précisé que c'est le FPR qui s'est opposé à l'intervention des forces étrangères au Rwanda. Dans une interview qu'il a donnée au journaliste Peter Verlinden en septembre 2009, répondant à la question de savoir si Kagame ne voulait pas la paix mais prendre le pouvoir, M. Willy Claes déclare : « Cela ne fait aucun doute, Kagame voulait le pouvoir. Cela ne fait aucun doute, et cela a même été confirmé plus tard, lorsque les graves événements se sont déroulés et lorsque nous avons envoyé des troupes pour mettre en sécurité non seulement des compatriotes et des Européens, mais aussi des Africains.

Et c'est ce même Kagame qui m'a envoyé un ultimatum, disant : « Je vous donne 24 ou 48 heures pour que vos troupes disparaissent, sans quoi nous n'hésiterons pas de tirer aussi sur les militaires belges ».

                                      

M. Willy Claes affirme que Kagame voulait que les Belges partent: « Il le voulait absolument ! Je pense qu'il ne voulait aucun témoin ! C'est ainsi. Il voulait absolument y jouer le chef, et donc les militaires belges auraient pu être des témoins gênants ! Donc maintenant, il bat la mesure. Mais cela, je ne l'ai appris qu'ultérieurement. Mais auparavant, j'étais persuadé que de chaque côté il y avait un manque de bonne volonté, qu'il y avait des ambitions malsaines des deux côtés. Et pour moi, il n'y avait aucun doute qu'il était alors évident que Kagame voulait devenir le seul leader ».

 

Il s'est opposé à une intervention  d'une force étrangère de pacification et a menacé de la combattre. Il a donc tout fait pour que rien ne puisse permettre de contrôler le cataclysme qu'il a enclenché tel qu'il l'a déclaré au Général Dallaire. Celui-ci le précise dans son ouvrage : J'ai serré la main du diable, page 207: « Nous combattrons toute armée d'intervention qui viendra au Rwanda. Laissez-nous résoudre nous-mêmes les problèmes du pays ».

 

Le 21 avril 1994, Paul Kagame a donné à un Commandant d'une Unité basée à Zoko en Commune Buyoga-Byumba, l'ordre de liquider les réfugiés Hutu qui fuyaient les combats. L'ordre a été donné en ces termes en Swahili: «Fagiya wale washenzi » (Liquidez ces imbéciles).Toutes  les Unités de l'APR ont alors massacré la population sans scrupule.

 

Il a ordonné le massacre des prêtres et d'autres religieux et religieuses qui s'étaient réfugiés au Petit Séminaire de Rwesero. Le petit séminaire et les lieux de refuge furent attaqués le 22 avril 1994.

 

Il a ordonné l'utilisation des produits chimiques contre la population et contre les Forces Armées Rwandaises pendant la guerre, notamment les populations de Byumba et le Bataillon PM à  Kigali en mai 1994.

 

Il a ordonné le massacre des prélats de l'Eglise Catholique notamment Mgr Vincent Nsengiyumva, Archevêque de Kigali, Thaddée Nsengiyumva, Evêque de Kabgayi, Joseph Ruzindana, Evêque de Byumba, ainsi que neuf prêtres, Mgr Innocent Gasabwoya, les abbés Jean-Marie-Vianney Rwabilinda, Emmanuel Uwimana, Silvestre Ndaberetse, Bernard Ntamugabumwe, François-Xavier Mulingo, Alfred Kayibanda, Fidèle Gahonzire et Jean-Baptiste Nsinga. Ils  ont été exécutés à Gakurazo-Gitarama le 5 juin 1994.

 

Concernant les massacres et d'autres crimes commis contre la population par l'APR depuis la prise du pouvoir, il  y a lieu de citer comme exemple de son mot d'ordre le cas des 27 personnes qui ont été tuées par asphyxie dans l'une des brigades de la Gendarmerie à Kigali, tel que mentionné avant. Le Général Paul Kagame, a envoyé un message à toutes les unités de l'APR et a ordonné aux Commandants d'unités de dire à la troupe de ne pas  se faire de souci à propos de l'emprisonnement de leurs camarades.

 

Il disait qu'on les a emprisonnés pour faire taire la Communauté Internationale , mais qu'ils seront libérés sous peu. Il a ajouté: « au contraire j'exhorte tous ceux qui ont la possibilité de faire comme eux de le faire ». C'est ainsi que toutes les positions militaires sont devenues des lieux de carnage et déclarées zones militaires interdites  d'accès pour plusieurs années.

 

Au retour d'un voyage en Chine le 29 mars 1995, Paul Kagame a déclaré que les Camps de déplacés de guerre qui se trouvaient dans le Sud du Rwanda allaient être détruits par tous les moyens. Peu de temps après il a commandé le bain de sang de Kibeho, le 22 Avril 1995. Plus de 8.000 Hutu ont péri sous les balles, les grenades, les roquettes et les bombes du FPR.  De ceux qui ont échappé à ce carnage 60.000 ont été massacrés en cours de route puisqu'ils ne sont pas arrivés chez eux.

 

Il a  ordonné d'attaquer les réfugiés rwandais installés dans les  pays voisins, notamment au Burundi en 1995 et le camp des réfugiés  de Birava au Sud-Kivu en RDC la nuit du 11 au 12 avril 1995.

 

Au cours d'un discours prononcé à Kibuye le 14 juin 1995 Paul Kagame a réitéré sa menace de poursuivre les réfugiés dans les pays d'asile.

 

Il a exécuté son plan diabolique en détruisant les camps des réfugiés à l'Est du Zaïre en 1996-1997, en poursuivant et en massacrant les réfugiés dans les forêts congolaises. Au moins 380.000 personnes ont été massacrées.

 

Le rapport du Projet Mapping des Nations Unies sur les crimes commis par l'Armée Patriotique Rwandaise contre les réfugiés Hutu rwandais en RDC de 1996 à 2003, publié le 1er octobre 2010, établit sans équivoque la responsabilité de Paul Kagame et son armée. Le projet Mapping étant la suite du rapport d'enquête de Roberto Garreton, les Nations Unies devraient aussi réactiver le rapport de Robert Gersony sur les crimes commis au Rwanda par Paul Kagame et son armée, et créer un Tribunal International chargé de les poursuivre.

 

Il a ordonné le massacre des populations civiles ayant fait plus de 10.000 victimes durant la guerre contre les infiltrés en 1997-1998. Il a fait bombarder et mitrailler les civils par l'artillerie de tous calibres et des hélicoptères de combat.

 

Paul Kagame est l'auteur des méthodes de tortures, de mutilations et de traitements inhumains, notamment la torture « Akandoya » qui consiste à lier les pieds et les poings, et puis les bras au niveau des coudes, ensemble derrière le dos  de la victime qui reste longtemps courbée comme un arc. Les os du thorax ressortent vers l'avant et se cassent pour certaines victimes qui en meurent ou qui meurent de l'étouffement.

 

Pour ne citer que ceux-là …….

Le 8 avril 2014

Kanyarwanda Veritas

 

To: Democracy_Human_Rights@yahoogroupes.fr
From: rwemay@yahoo.fr
Date: Fri, 18 Apr 2014 14:17:00 +0100
Subject: *DHR* Film 20 ans histoire truquée du Rwanda

 
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