Parcels in a courier company.
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Rwanda Forum ni urubuga rugali,rudaheza,rutangaza kandi rusesengura Ibitekerezo,Ibibazo, Amakuru n' Amateka y’u Rwanda. Ijambo ni iryanyu !
Que la France quitte toute l'Afrique. Les Français sont pauvres et corrompus. Il faut voir comment ils se comportent à l'égard du Rwanda et de la RDC. Ce sont les Français qui alimentent le conflit entre ces deux pays.
Ma chère Mushikiwabo, Mon cher Paul. C'est comme ça que Macron se comporte à l'égard des Africains alors que le Français a pratiquement disparu au Rwanda. Macron a du même financer des faux rapports sur le Rwanda pour avoir de bonnes relations avec ce pays. Ces rapports ont été rédigés pour promouvoir la discrimination des hutus par les Tutsi de Kagame.
Le Tchad met fin à l'accord de coopération en matière de défense signé avec la France, et révisé en 2019. Sans, pour le moment, donner plus de précisions sur ce qu'implique la rupture de cet accord. L'annonce n'a pas été faite pendant la visite de 24 heures du ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot dans le pays, mais quelques heures après son départ.
« Le Gouvernement de la République du Tchad informe l'opinion nationale et internationale de sa décision de mettre fin à l'accord de coopération en matière de défense signé avec la République française », a déclaré Abderaman Koulamallah dans un communiqué publié sur la page Facebook officielle du ministère.
Le ministre tchadien des Affaires étrangères estime que le Tchad veut évoluer, mais que la France reste un partenaire essentiel, rapporte notre correspondant à Ndjamena, Carol Valade. Pendant sa visite, le ministre français Jean-Nöel Barrot n'a pas abordé le sujet. Lors de la déclaration commune à l'issue de la rencontre, son homologue tchadien Abderaman Koulamallah a simplement glissé que « la France doit considérer désormais que le Tchad a grandi et mûri ».
Ndjamena assure que les modalités prévues pour la résiliation de l'accord, y compris le délai de préavis, seront respectées. « Le Gouvernement tient à souligner que cette décision ne remet en aucun cas en question les relations historiques et les liens d'amitié entre les deux nations », ajoute le communiqué du ministère, qui espère « une transition harmonieuse » et reste « ouvert à un dialogue constructif pour explorer de nouvelles formes de partenariat ».
Des diplomates à la société civile, en passant par la sphère politique, absolument personne n'avait anticipé cette annonce. Et les spéculations vont bon train à Ndjamena : s'est-il passé quelque chose lors de la rencontre entre le chef de la diplomatie française et le président du Tchad, Mahamat Idriss Déby ? Non, répond le ministre tchadien des Affaires étrangères.
Joint par RFI, le chef de la diplomatie tchadienne évoque une décision « mûrement réfléchie ». L'annoncée a été faite très symboliquement le 28 novembre, qui marquait le 66e anniversaire de la proclamation de la République au Tchad.
Qu'implique cette déclaration ? S'agit-il d'un départ de tous les soldats français du sol tchadien ? Le ministre laisse entendre qu'elle pourrait entraîner un départ du millier de soldats français stationnés dans le pays, suivant les modalités et dans les délais prévus par l'accord de défense.
Est-ce un appel à revisiter la coopération ? Certaines interrogations restent pour l'heure sans réponses : rien n'a filtré à la sortie de l'entretien le jour-même entre le président tchadien Mahamat Idriss Déby et le chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot. Aucune des deux parties n'a semblé montrer de signe d'une dégradation des relations. Côté français, il n'y a pas eu de déclaration dans la soirée.
Mais le Tchad laisse donc la porte ouverte à un « dialogue » pour « explorer de nouvelles formes de partenariat ». C'est un tournant historique dans une longue histoire de co-dépendance marquée par un siècle de présence militaire française au Tchad : il s'agit du pays qui a connu le plus grand nombre d'opérations militaires françaises sur son territoire.
C'est aussi un nouveau coup dur pour la diplomatie française, qui a vu son armée chassée du Mali, du Niger et du Burkina Faso ces dernières années. Mais c'est aussi une décision très politique de la part du président tchadien Mahamat Idriss Déby, qui marque ainsi des points auprès d'une opinion publique largement défavorable à la présence française. Cela à tout juste un mois des élections législatives.
### "Be courteous to all, but intimate with few; and let those few be well tried before you give them your confidence", George Washington. ### |
Brussels, 18 December 2015
Dear High Representative,
After 16 years of exile in the Netherlands, Ms. Victoire Ingabire Umuhoza, president of the
Unified Democratic Forces FDU-Inkingi, a coalition of Rwandan opposition parties, returned
to Rwanda to run for presidential elections scheduled for August 2010. On 14th October she
was arrested after weeks of police harassment, intimidation and media lynching, charged
with genocide ideology, genocide denial, and conspiracy against the regime. Charges
commonly used to silence any opposition in a country where freedom of expression is
severely curtailed.
After a flawed trial, condemned among others by Amnesty International, Human Rights
Watch and the Foundation Jean Jaurès, she was sentenced in first 8 years in prison. On
appeal, the sentence was increased to 15 years. Yet, the Supreme Court had invalidated
some of the evidences used to convict her in the first place.
Having lost all confidence in the justice of her country led by an authoritarian regime, she
filed an application with the African Court of Human Rights and Peoples based in Arusha,
Tanzania.
Nominated for Sakharov Prize in 2012, the fate of this mother, nicknamed by her followers
as the Rwandan Aung San Suu Kyi, should challenge us. Pursuant to the resolution of our
Parliament 2013/2641 (RSP) of 25 may 2013, we ask the European Commission to officially
request the immediate release of Madam Ingabire. In the meantime, we urge the
Commission to take action to improve her prison conditions by ensuring, among others, a
free and easy access to legal counsel and her recognition as a political prisoner. We stress
the urgent need of periodic visits of EU observers to evaluate the situation.
The case of Ms Victoire Ingabire is just the tip of the iceberg. On Friday 4th December 2015,
her party deputy, Boniface Twagirimana, narrowly escaped a kidnap attempt. Thanks to the
quick reaction of bypassers, he was taken to a police station where he spent 24 hours
before being released without charges, since the kidnap attempt had been thwarted. This
crackdown on opposition comes in the wake of a constitutional review referendum
scheduled on 18 December 2015 that will allow the incumbent president to stay in power
for another 17 years at least, contrary to the constitution which limits his term in office to
two terms.
Lola Sánchez Caldentey
Rosa Estaràs Ferragut
Jordi Sebastià
Juan Carlos Girauta Vidal
Estefanía Torres
Miguel Urbán
Xavier Benito
Fabio de Masi
Tania Gonzalez
Reinhard Bütikofer
Maria Heubuch
Yanick Jadot
Ernest Urtasun
Ernest Maragall
José Bové
Karima Delli
Josep-Maria Terricabras
Julia Reda
Jean Lambert
Bart Staes
Marie-Christine Vergiat
Pascal Durand
Ian Hudghton
Tatjana Zdanoka
Bronis Ropè
Stelios Kouloglou
Ana María Gomes
Norbert Neuser
Barbara Spinelli
Luis de Grandes Pascual
Kostadinka Kuneva
Michèle Rivasi
Terry Reintke
António Marinho e Pinto
Gabi Zimmer
Ivo Vajgl
Laura Ferrara
José Inácio Faria
Dimitrios Papadimoulis
Marlene Mizzi
Beatriz Becerra
Izascun Bilbao
Liliana Rodrigues
Malin Björk
Teresa Gimenez barbat
Hilde Vautmans
Kostas Chrysogonos
Doru Frunzulica
Santiago Fisas Ayxelà
Claude Rolin
Jean-Luc Schaffhauser
Elly Schlein
Merja Kyllönen
Stefan Eck
Nathalie Griesbeck
Ignazio Corrao
Fabio Massimo Castaldo
Ramona Manescu
Brando Benifei
Javier Nart
María Teresa Giménez
Francesc Gambús
Nessa Childers
Johannes Cornelis Van Baalen
### "Be courteous to all, but intimate with few; and let those few be well tried before you give them your confidence", George Washington. ### |
On Nov 23, 2024, at 8:21 AM, Nzi Nink <nzinink@yahoo.com> wrote:
Police Discover Skull Inside Nairobi-bound Bus - Kenyans.co.ke Police Discover Skull Inside Nairobi-bound Bus - Kenyans.co.ke
A standoff was on Thursday witnessed at the Busia border after a human skull was discovered inside a passenger bus.
According to eyewitnesses, the bus, which was coming from Rwanda and headed for Nairobi, stopped at the border for a routine check.
It was at this point that a human skull was discovered inside, neatly packed as a parcel.
The bus driver and conductor were interrogated following the discovery, then they proceeded to the Busia Police Station to record statements.
Parcels in a courier company.
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eWak
Locals got wind of the bizarre incident and rushed to the scene demanding an explanation.
"We do not know who was carrying the skull and for what use. We also want to know where the said person was heading. Police should investigate this matter and give a comprehensive report," said one of the residents.
"The skull was well-packed and at first you would have thought it was a parcel. Killing a fellow human being is unacceptable," added another.
After the driver and conductor had recorded their statements, they were given a green light to proceed with the journey.
The skull was left at the police station as officers as investigations commenced on the matter.
According to the locals, the discovery should serve as a wake-up call to authorities to tighten the noose at all border points to ensure there is no trafficking of human organs.
"There is a possibility that some people in Busia or the surrounding regions are engaging in such dirty businesses. Security agencies should crack the whip and prosecute those who will be found guilty," said a Busia resident.
In September this year, long-distance truck drivers also lamented cases of insecurity at the Busia border saying thugs take advantage of traffic snarl-ups to rob them of their valuables.
A photo of human skulls
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The Independent
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"Be courteous to all, but intimate with few; and let those few be well tried before you give them your confidence", George Washington.
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“Uwigize agatebo ayora ivi”. Ubutegetsi bukugira agatebo ukariyora uko bukeye n’uko bwije.
"Ce dont j’ai le plus peur, c’est des gens qui croient que, du jour au lendemain, on peut prendre une société, lui tordre le cou et en faire une autre."
“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”
“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”
“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile."
1.Kumenya Amakuru n’amateka atabogamye ndetse n’Ibishobora Kukugiraho Ingaruka ni Uburenganzira Bwawe. 2.Kwisanzura mu Gutanga Ibitekerezo, Kurwanya Ubusumbane, Akarengane n’Ibindi Byose Bikubangamiye ni Uburenganzira Bwawe.
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