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Friday, 8 January 2016

[haguruka.com] DE LA PROSPÉRITÉ À ‘SAOUDI’ À LA NOYADE AU ‘DARFOUR’1: L’HISTOIRE D’UN MARAIS AU RWANDA, pp. 375-396. Par An Ansoms et Jude Murison "In L’Afrique des Grands Lacs. ANNUAIRE 2011-2012 . University of Edinburgh

 

Cher Joseph, voici en dessous une reference scientifique (Edinburg research explorer) qui peut bien vous appuyer dans  votre "Ikiganiro sur economie chez les Banyarwanda ". Bulya Abawesternazi ni kabombo, balicecekera iyo babona itekinika (ikinyoma n'ubuhendanyi), aliko baba bazi ko ntacyo lizageraho, kuko bazi neza ibibera muli Federation de Russie kuva 150 ans:

"After the collapse of the Soviet Union, a large number of the collective farms (kolkhozesand state farms (sovkhozes) were transformed into agricultural production co-operatives. Average size of the cooperatives is: 76 ha of agricultural land, 72 ha of arable land, 10 members, 19 cattle and 31pigs/cooperative (Table 3, page 8).

The production co-operatives in Russian agriculture must be considered to have relatively poor prospects. They are subject to structural obstacles, which means that it might be difficult for them to become efficient. The financial strength of existing co-operatives is low, so their investment ability is poor. The co-operatives are characterised by low efficiency and profitability. The members have limited financial resources. Hence, they (production cooperatives) can be no role model for other countries (p17).  https://emnet.univie.ac.at/uploads/media/Golovina_Nilsson_Wolz.pdf )"


Les page 393 et 394 dans Ansoms-Murison donnent le point contre quiconque daignerait vous reprocher a tort que les cooperatives sont un probleme pour les petits paysans pauvres.  


Download as Adobe PDF - Edinburgh Research Explorer


http://www.research.ed.ac.uk/portal/files/14134134/16_DE_LA_PROSP_RIT_SAOUDI_Ansoms_Murison.pdf




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Posted by: kota venant <kotakori@hotmail.com>
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Thursday, 7 January 2016

Contrôleur de gestion international H/F – Paris

Contrôleur de gestion international H/F – Paris

Link to EMPLOI ONG

Contrôleur de gestion international H/F – Paris

Posted: 06 Jan 2016 04:04 PM PST

Offres d'emploi » Contrôleur de gestion international H/F – Paris Description La Croix-Rouge française intervient dans plus de 28 pays, en Afrique, Asie, Moyen Orient et Caraïbes au travers de plus de 100 projets, sur diverses thématiques : lutte contre le VIH, promotion à l'hygiène, reconstruction, formation au secourisme, santé publique et communautaire, nutrition, aide […]

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Juriste (H/F)

Posted: 06 Jan 2016 03:57 PM PST

Offres d'emploi » Juriste (H/F) Description Médecins du Monde, association médicale militante de solidarité internationale, s'engage depuis plus de 30 ans à soigner les populations les plus vulnérables ici et là-bas, à témoigner des entraves constatées quant à l'accès aux soins, à obtenir des améliorations durables des politiques de santé pour tous. Association indépendante nous […]

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Responsable National(e) de Groupes Communautaires – CDD

Posted: 06 Jan 2016 03:54 PM PST

Offres d'emploi » Responsable National(e) de Groupes Communautaires – CDD remplacement congé maladie Description Emmaüs , mouvement solidaire et laïc, né de la rencontre de l'abbé Pierre et d'un ancien bagnard, est engagé depuis 1949 dans la lutte contre la pauvreté et l'exclusion. Aujourd'hui Emmaüs en France, ce sont 8 050 bénévoles, 4 127 compagnons […]

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Un(e) Chargé/e des systèmes et réseaux informatique

Posted: 06 Jan 2016 03:49 PM PST

Offres d'emploi » SIEGE – Un(e) Chargé/e des systèmes et réseaux informatique Description Première Urgence Internationale (PUI) est une organisation non gouvernementale de solidarité internationale, à but non lucratif, apolitique et laïque. L'ensemble de ses personnels se mobilise au quotidien pour couvrir les besoins fondamentaux des victimes civiles mises en péril, marginalisées ou exclues par […]

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Chargé de missions comptabilité et gestion

Posted: 06 Jan 2016 03:45 PM PST

Offres d'emploi » Adjoint au RAF – Chargé de missions comptabilité et gestion – PlaNet ADAM Description I. Rôles et responsabilités L'Adjoint au RAF est responsable de : Suivre l'exécution budgétaire de la Tête de Réseau et des PlaNet ADAM. Plus particulièrement, l'Adjoint au RAF: Appuie le Responsable administratif et financier dans la production des […]

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Un(e) Chargé(e) de Recrutement

Posted: 06 Jan 2016 03:39 PM PST

Offres d'emploi » SIEGE – Un(e) Chargé(e) de Recrutement Description Première Urgence InternationalePUI_logo-fond-blanc est une ONG humanitaire présente dans une vingtaine de pays, en Afrique, en Asie, en Europe et au Moyen-Orient. Elle vient en aide aux personnes victimes de situations dramatiques – guerres, déplacements forcés, catastrophes naturelles. A travers 140 projets par an, elle […]

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Un/e Chargé/e de Logistique Missions

Posted: 06 Jan 2016 03:33 PM PST

Offres d'emploi » SIEGE – Un/e Chargé/e de Logistique Missions Description Première Urgence InternationalePUI_logo-fond-blanc est une Organisation Non Gouvernementale de solidarité internationale, à but non lucratif, apolitique et laïque. L'ensemble de ses personnels se mobilise au quotidien pour couvrir les besoins fondamentaux des victimes civiles mises en péril, marginalisées ou exclues par les effets de […]

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Cameroun – Chef de Mission (H/F) – Bertoua

Posted: 06 Jan 2016 03:23 PM PST

Offres d'emploi » Cameroun – Chef de Mission (H/F) – Bertoua Description Date de rédaction : 06/01/15 Date de prise de fonction souhaitée : 21/03/2016 Durée de la mission : 6 mois Localisation : Bertoua/Yaoundé, Cameroun "Le premier travail d'un manager n'est pas d'apporter la motivation mais de supprimer les obstacles." – Scott Adams Que […]

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[haguruka.com] The Spectator.co.uk @Rwanda is sliding into a new tragedy. And this time we’re funding it.

 






 

Rwanda is sliding into a new tragedy. And this time we're funding it

ETHIOPIA-DRCONGO-UNREST-UN-PEACE
Never lighthearted, my African political exile friend sounded particularly lugubrious on the line from Washington. His voice was low and pensive. For the past few months, he said, he'd been hearing of plans hatched by the regime back home for his assassination. 'They are very gruesome, very gruesome indeed.'
It was not the first time. In the past he'd always passed the details on to the FBI, which had also called him up several times when they thought he was in danger. This time he hadn't bothered. 'I always ask them: 'What are you doing to protect me?' and they say, 'Well, if you see anything suspicious, call 911.' I've come to the conclusion that the people here, or the people in your place, honestly don't care about our lives.'
I've had similar conversations with rather too many of his haunted fellow nationals, dissidents convinced that fleeing the country of their birth has done little to guarantee protection from an African government they dared to challenge. What's chilling is that the nation concerned is not some oil or diamond giant whose wealth allows it to arrogantly defy international opprobrium, some drug-trafficking republic run by a crazed general. This is no failed state, torn apart by warring militias.
No, it's orderly little Rwanda, the ultimate 'donor darling', and a government that relies on western aid for nearly 40 per cent of its operating budget, much of it provided by the United States and United Kingdom. Its president, Paul Kagame, hobnobs with the likes of Bill Gates, Bill Clinton and the Blairs — Tony advises him on governance and Cherie recently defended his spy chief on war crimes charges in a British court. Kagame so impressed the organisers in Davos that Kigali is due to host the African edition of the World Economic Forum in May.
You might think the intimacy of that relationship would grant western officials some leverage on behalf of the likes of Theo-gene Rudasingwa, founding member of the Rwanda National Congress (RNC) party, who shared his concerns over the phone. Or that Kagame's regime might think twice before embarrassing its western sponsors. You'd be wrong.
As the man who has run the country since a genocide perpetrated by the late Juvénal Habyarimana's forces shows signs of becoming permanently entrenched, suppressing all criticism and contemptuous of international opinion, the response by British and US policymakers goes little further than putting their fingers in their ears and singing 'la la la'.
Any student of the Great Lakes will already be familiar with the claims and counterclaims that have swirled around the region since the 1994 genocide. Well-informed analysts reject the neat theory of the 'double genocide', whereby killings of nearly a million Tutsis and moderate Hutus by Habyarimana's soldiers and militiamen were somehow morally counterbalanced by the massacres of Hutus committed by Kagame's advancing Rwandan Patriotic Front (RPF) rebel movement. But anyone who reads Jason Stearns's Dancing in the Glory of Monsters can be in little doubt there is copious blood on RPF hands, shed in both Rwanda and the Democratic Republic of Congo. This is a complex story, without easily identifiable goodies and baddies.
So Kagame has always been accused of ruthlessness, but the violence was excused in Washington and London on the grounds that Rwanda sat in a tough neighbourhood. A regime that had ended a genocide could not be expected to respect the Marquess of Queensbury rules, the thinking went. But what the international community, mired in guilt for failing to stop the 1994 massacres, fails to register is that the human rights charges now being lodged against Kigali can't be viewed through the traditional lens of scarred Tutsi survivors hitting out at unrepentant Hutu genocidaires. Like most of Kagame's most vocal critics today, Theogene Rudasingwa is a Tutsi. He was once Kagame's chief of staff and Rwanda's ambassador to the US.
Kayumba Nyamwasa, who was shot in the stomach in a South African shopping mall in 2010 and lives under armed guard in that country, was the Rwandan army's chief of staff before setting up the RNC. He also is a Tutsi. So was co-founder Patrick Karegeya, former Rwandan intelligence chief, strangled last year in a South African hotel. These men were not saints, but it's difficult to portray them as genocidaires either, although the regime in Kigali does its best. No, this is a case of the revolution devouring itself, as possible political rivals and successors from within the RPF's cosy Tutsi elite are systematically eliminated.
Shockingly, national borders count for nothing in Kagame's campaign of removal and intimidation, a recklessness that can only be premised on the all-too-accurate assumption that western donors whose territorial sovereignty is violated in this way may fulminate in public but never take substantive action.
Not only have US authorities felt impelled to inform Rwandan dissidents on American soil that they are in danger — a congressman recently revealed that they issued a formal warning to Major Robert Higiro, a former Rwandan army officer who exposed Kigali's assassination plans and was living in Belgium, telling him his life would be in danger if he stayed there.
The British have taken similar action in the past, too. In May 2011, the Metropolitan Police formally warned two Rwandan dissidents living in London that they faced an 'imminent threat' of assassination and turned back their suspected attacker, who had taken the coach from Belgium to Folkestone.
Logged by Human Rights Watch, the series of killings, disappearances, kidnappings and jailings appears to have escalated as Kagame's personal ambition has hardened. Last month, in a referendum whose outcome bore more than a whiff of Ceausescu's Romania, 98 per cent of Rwandans voted for a constitutional change allowing Kagame to run for a third, fourth and fifth term. In his new year's address, to no one's surprise, he confirmed that he would stand. That means he could still be in power in 2034.
The US has made clear its disapproval, with Samantha Power, ambassador to the United Nations, surprisingly forthright on the topic. However, it's hard to imagine Washington, which puts great weight on Rwanda's readiness to deploy troops as peacekeepers in African hot spots, putting its aid money where its mouth is.
And what about Britain, due to provide Kigali with at least £75 million in aid in 2015/16? Under Clare Short and Andrew Mitchell, the Department for International Development was an ideologically driven ministry, ready to robustly defend funding to the likes of Rwanda. Today's ring-fenced budget, legally enshrined at a time when so much public spending faces the axe, should in theory boost institutional confidence. Instead, the department under Justine Greening, who never asked for the job, appears to lack both backbone and moral conviction.
These days it's virtually impossible for journalists to meet anyone in authority at Dfid, including Greening. Colleagues' experiences tally with mine. When I asked the press office whether Dfid felt any qualms about funding an African government that was conducting targeted assassinations on its allies' territory, it sidestepped the question, stressing that no aid goes directly into Rwanda's Treasury, as though that dealt with the issue. 'The UK government will continue to make decisions concerning aid to Rwanda based on the government's commitment to poverty reduction, anti-corruption, transparency, human rights and domestic accountability,' ran the bland Dfid statement I eventually received after a fortnight of chasing. 'As part of our bilateral partnership, we regularly raise concerns about civil and political rights in Rwanda and continue to press for reforms in these areas.'
The questions Dfid ducks so determinedly have never been more pertinent. In recent years, the quiet belief has taken hold in aid circles that benign dictators are better at delivering clean water, paved roads and primary education to 'the poorest of the poor' — always that justifying mantra — than messy, unstable democracies. Kagame, who used to share the crown with the late Meles Zenawi of Ethiopia, now epitomises this development model, a form of idealism that allows for some alarmingly cynical policies.
At the very least, the taxpaying British public should be allowed to debate whether its taxes should be going to prop up a regime that even its closest allies acknowledge routinely uses murder to crush political challenge. A thick grey wall of bureaucratic obfuscation currently ensures it never gets that chance.
Michela Wrong has reported from across Africa. Her books include In the Footsteps of Mr KurtzIt's Our Turn to Eat and, most recently, Borderlines, a thriller.


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SIBOMANA Jean Bosco
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[haguruka.com] Rwanda: le livre de Mado

 

Livre Mado
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Tuesday, 5 January 2016

FW: Votre sélection quotidienne d'articles de IRIN, 1/5/2016

 

 


nouvelles et analyses humanitaires

 

 


Briefing: Quelles seront les prochaines étapes du processus de paix au Burundi ?

KAMPALA, 5 janvier 2016 (IRIN) - Les pourparlers visant à régler le violent clivage politique qui divise le Burundi devraient commencer ce mercredi en Tanzanie, mais l’État se montre intransigeant sur ce qu’il considère comme une ingérence dans ses affaires intérieures.

Le gouvernement persiste à dire qu’il n’engagera aucun dialogue avec les membres de l’opposition ayant participé à la tentative de coup d’État du mois de mai. Il rejette par ailleurs le projet de l’Union africaine de déployer 5 000 agents de maintien de la paix pour protéger les civils et a même menacé de combattre ces troupes si elles entraient en action.

Une première rencontre avait eu lieu en Ouganda, sous la médiation du président Yoweri Museveni, désigné à cette fin par l’Union africaine pour lever les derniers obstacles au processus de paix, en vain. L’Union africaine a donc menacé les parties au conflit de sanctions si elles ne se présentaient pas à Arusha (Tanzanie) le 6 janvier, sans pour autant préciser quelles seraient ces sanctions.

« Jusqu’à présent, les réponses du gouvernement burundais sont décevantes, mais les facilitateurs des pourparlers ne doivent pas baisser les bras. Une pression internationale et régionale soutenue est essentielle pour persuader le gouvernement et l’opposition de prendre des mesures pour mettre fin aux violences meurtrières au Burundi », a dit à IRIN Carina Tertsakian, chercheuse principale de Human Rights Watch sur le Burundi.

La communauté internationale se montre de plus en plus inquiète face aux violences qui déchirent le pays depuis l’annonce controversée du président Pierre Nkurunziza de briguer un troisième mandat et sa victoire électorale en juillet. Selon les Nations Unies, 400 personnes auraient été tuées jusqu’à présent et la communauté internationale craint que la multiplication des homicides mène le Burundi à la guerre civile et entraîne une division ethnique de l’armée.

À lire : La descente aux enfers du Burundi 

« Il revient au gouvernement de s’assurer que ses forces de sécurité cessent de s’en prendre à des individus pour la simple raison qu’elles les soupçonnent d’être opposés au gouvernement ou parce que ce sont de jeunes hommes vivant dans des quartiers dits d’opposition », a dit Mme Tertsakian.

Quelles sont les chances de réussite des pourparlers de paix ?

Lors des négociations du 28 décembre en Ouganda, le gouvernement burundais a rejeté la demande de M. Museveni d’une amnistie pour les membres de l’alliance d’opposition — le Conseil national pour le respect de l’accord d’Arusha et la restauration d’un état de droit au Burundi (CNARED) — impliqués dans la tentative de coup d’État qui cherchait à empêcher M. Nkurunziza de se représenter.

M. Nkurunziza avait alors pu rassembler les troupes qui lui étaient restées fidèles et le putsch avait été mis en échec après deux jours de combats.

Le gouvernement a qualifié le CNARED d’« organisation terroriste » et l’a accusé d’être à l’origine d’attaques contre les forces de sécurité et de recruter des membres parmi les ressortissants réfugiés dans les pays voisins. L’Union africaine considère quant à elle le CNARED, qui compte deux anciens présidents et de nombreux chefs de file de la société civile, comme une fédération des mouvements d’opposition.

« Si des individus dont nous avons la preuve qu’ils ont participé au coup d’État se présentent dans la salle [de négociation], nous sortons. C’est aussi simple que ça », a dit aux journalistes Alain Aimé Nyamitwe, ministre des Affaires étrangères burundais et chef de la délégation du gouvernement.
« Pourquoi devrions-nous parler [d’accorder] l’immunité à certains alors que d’autres sont jugés à Bujumbura ? Pourquoi, selon vous, le Burundi pourrait-il persévérer dans la tendance à l’impunité et au pardon envers des politiciens irresponsables ? »

À lire : À quoi les pourparlers au Burundi devraient-ils ressembler ? (en anglais)

Même si Jean Minani, représentant des négociateurs de l’opposition, a dit à IRIN que son équipe participerait aux pourparlers d’Arusha, il exige néanmoins que M. Nkurunziza démissionne. « Nous allons négocier avec l’ennemi. Mais [M. Nkurunziza] ne peut pas dire “donnez-moi [encore] cinq ans” […] Il doit partir », a-t-il dit.

Les soldats de maintien de la paix vont-ils être déployés ?

Selon les opposants de M. Nkurunziza, briguer un troisième mandat lui était interdit par la Constitution et violait l’accord de paix d’Arusha de 2000 qui avait mis fin à la longue guerre civile qui déchirait le Burundi. Un élément clé de cet accord était la fusion entre l’armée et les forces rebelles, auxquelles avait appartenu M. Nkurunziza.

« Une solution politique n’est pas impossible, mais semble très très difficile étant donné que la principale demande de l’opposition est la démission de M. Nkurunziza, ce que le gouvernement n’acceptera jamais », a dit à IRIN Alex Fielding, analyste à Max Security Solutions, une société de conseil en risques géopolitiques. « [M.] Nkurunziza demeure populaire en milieu rural et il s’est montré peu enclin au compromis. »

« Oui, bien sûr, le CNARED est la principale plate-forme d’opposition et elle doit participer si l’on veut parvenir à une solution politique durable. En rejetant d’emblée [ses membres] comme étant des ‘criminels’ ou des ‘terroristes’, le gouvernement de [M.] Nkurunziza condamne le dialogue à l’échec », a-t-il dit.

« L’une des raisons de cette ligne dure est que les soutiens de [M. Nkurunziza] sont nombreux au sein des forces de sécurité et des échelons supérieurs de l’armée depuis qu’il a écarté ceux qui étaient perçus comme déloyaux après la tentative de coup d’État. Il est également encouragé par la perspective de moins en moins probable d’un déploiement d’une mission de maintien de la paix de l’Union africaine. »

Le 17 décembre, l’Union africaine a invoqué pour la première fois une clause l’autorisant à intervenir dans un État membre sans la permission de ce dernier. M. Nkurunziza a rapidement averti qu’il combattrait une telle « force d’invasion ».

À lire : Les soldats de maintien de la paix vont-ils mettre un terme aux violences au Burundi ? (en anglais) 

 « Je pense que le gouvernement burundais va continuer à essayer de retarder et de troubler les négociations et le déploiement d’une force de maintien de la paix aussi énergiquement que possible », a dit à IRIN Joseph Siegle, directeur de recherche à l’Africa Center for Strategic Studies de la National Defense University (Washington). « Ils vont justifier cela en vertu de la souveraineté, mais ce qu’ils veulent vraiment c’est avoir le contrôle et détourner l’attention de leur manque de légitimité. »

« Tout au long de la crise, le gouvernement a calculé que les autorités régionales et internationales manqueraient de volonté politique pour intervenir et qu’il pourrait en profiter pour faire pression en faveur d’un troisième mandat et employer ses techniques d’intimidation », a-t-il ajouté.

Je pense que la force de maintien de la paix de l’Union africaine était plutôt une manoeuvre politique visant à pousser [M.] Nkurunziza au dialogue

En réalité, la Force en attente de l’Afrique de l’Est est loin d’être prête à intervenir. Le Rwanda et la Tanzanie, deux forces importantes, ont déjà dit qu’ils ne fourniraient pas de troupes et, étant données les objections du Burundi, tout déploiement doit obtenir au préalable l’approbation du Conseil de sécurité des Nations Unies.

« Je pense que la force de maintien de la paix de l’Union africaine était plutôt une manoeuvre politique visant à pousser [M.] Nkurunziza au dialogue qu’une réelle volonté d’envoyer la Force en attente de l’Afrique de l’Est accomplir une mission aussi explosive et complexe », a dit M. Fielding.

« La Force en attente de l’Afrique de l’Est n’a pas à proprement parler d’expérience du combat et la plupart des dirigeants de l’Union africaine se montrent toujours réticents et sceptiques quant à une interférence avec la souveraineté de l’État par une intervention militaire », a-t-il ajouté. « Je n’imagine pas que l’on parvienne à dépasser ces obstacles, à moins d’une sérieuse escalade de la violence qui délégitimerait le gouvernement de [M.] Nkurunziza dans son rôle de protecteur de la population et qui redonnerait à l’intervention un sens bien plus urgent. »

Au bord de la catastrophe ?

La situation pourrait basculer avec l’émergence de factions dissidentes dans l’armée burundaise auparavant majoritairement tutsi. Le 23 décembre, un nouveau groupe rebelle, les Forces républicaines du Burundi (Forebu), a annoncé sa création.

Outre le déploiement d’une force militaire, d’autres mesures pourraient permettre de réduire le nombre d’homicides, par exemple le déploiement d’une force policière régionale dans les zones les plus sujettes aux violences. 

Dirigé par Edward Nshimirimana, ancien colonel, le mouvement a affirmé compter des déserteurs de l’armée dans ses rangs. Le gouvernement l’a accusé d’attaques contre des bases de l’armée le 11 décembre et d’autres « attentats avortés ».

« Si les Forebu parvenaient à attirer plusieurs officiers tutsi de haut rang mécontents d’avoir été mis à l’écart par la faction composée d’anciens membres de groupes armés hutu proches de [M.] Nkurunziza, les violences pourraient se multiplier, prendre une dimension ethnique dangereuse et éventuellement conduire à une guerre civile », a dit M. Fielding.

« [M.] Nkurunziza a tout intérêt à éviter un tel scénario, qui entraînerait probablement une intervention militaire internationale. Mais des signes inquiétants d’un recours à la rhétorique ethnique pour susciter le soutien ont déjà été observés. [M.] Nshimirimana a ainsi affirmé qu’un génocide des Tutsis était déjà en cours. »

Que faire ?

« La solution doit être politique plutôt que simplement militaire et les dirigeants africains de la région et d’autres pays comme la Chine — qui conserve une certaine influence sur [M.] Nkurunziza – doivent faire pression sur le gouvernement pour qu’il entame un dialogue ouvert laissant un droit de parole au CNARED et aux groupes de la société civile », a dit M. Fielding.

« Si l’Union africaine est prête à offrir son aide pour éviter de nouveaux morts, le gouvernement burundais devrait accepter d’envisager cette possibilité, ainsi que d’autres options qui pourraient permettre de rétablir le respect de l’état de droit et des droits de l’homme fondamentaux », a dit Mme Tertsakian.

« Outre le déploiement d’une force militaire, d’autres mesures pourraient permettre de réduire le nombre d’homicides, par exemple le déploiement d’une force policière régionale dans les zones les plus sujettes aux violences. »

« Il reste encore une chance d’éviter la catastrophe au Burundi », a conclu la chercheuse.

so/oa/ag-ld/amz 

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[haguruka.com] Re: Révélations: Les mercenaires rwandais FDLR contrôlent le Burundi

 

Attention Lecteurs/Readers Beware!
---Bisa bidasa---

1-Burundi-24 Vs Burundi24
2-Umuvugizi wa Gasasira Vs Unuvugizi wa Ndahiro
==
On Jan 4, 2016, at 7:25 PM, Billy Thekid <billthekid24@yahoo.com> wrote:

Révélations: Les mercenaires rwandais FDLR contrôlent le Burundi

Interahamwe burundi
Cet INTERAHAMWE a été sauvé en septembre pour avoir reconnu ses collègues FDRL au sein de l'armée burundaise
Depuis décembre 2015 les FDLR contrôlent toute l'armée, la police nationale et aussi les miliciens burundais Imbonerakure.
Nkurunziza est surveillé par des membres d'élite des FDLR et il est pratiquement leur otage.
Après la création du FOREBU, le régime et Nkurunziza ont essayé de negocier un compromis avec l'aide du médiateur ougandais le président Yoweri Museveni. Le compromis se base sur un gouvernement d'unité nationale avec la présence des éléments moins compromis du CNDD-FDD et l'abdication de Nkurunziza sur assurance d'immunité.
Ce compromis a été détruit par le haut Commandement des FDLR à Goma et à Paris. Les FDLR ont forcé Nkurunziza de s'opposer à la force de paix de l'Union Africaine et d'informer que les négociations prévues à Arusha n'allaient pas  enregistrer la présence du « gouvernement burundais ».
Au Burundi, le contrôle du pays a été confié aux membres militaires et politiques des FDLR suivants:
Contrôle politique sur le Burundi et coordination des actions politiques – militaires dans le pays: Felicen Kabuga, l'homme d'affaires rwandais bailleur des fonds du gouvernement Habyrimana pendant le génocide de 1994 au Rwanda.
Felicien Kabuga décide la politique du CNDD-FDD et il est l'auteur du discours à la Nation de fin d'année 2015 prononcée par Nkurunziza.
Responsable des opérations militaires et du génocide au Burundi: Colonel Kabuyoya Anaclet Hitimana, ancien officier de gendarmerie du régime de Habyrimana et haut commandant des forces génocidaires pendant l'holocauste de 1994 au Rwanda. Le Colonel Kabuyoya assure la coordination entre les FDLR et les mercenaires congolais Mai Mai envoyés par le président Joseph Kabila et commande les opérations militaires en collaboration avec le général congolais Delphin Kayimbi.
Nkurunziza et le CNDD-FDD sont désormais des personnes sans pouvoir, en otage des FDLR.
Le seul burundais ayant un pouvoir est le Commandant de la police Godefroid Bisimana jugé fiable par le Haut commandement des FDLR.
Les opérations militaires FDLR au Burundi sont décidées par le général Sylvestre Mudacumura.
Malgré un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) il circule tranquillement à Goma (Nord-Kivu) et entretien des rapports public avec hauts gradués de l'armée française envoyé par Paris en 2013 pour entrainer le FDLR. Les opérations politiques et la stratégie générale sont coordonnées par le Bureau Politique FDLR à Paris avec le soutien actif mais discret de la France.
Le 19 juin 2015 le FDLR déclara sur Twitter qu'ils ne sont pas présents au Burundi. C'est la seule mention officielle sur le Burundi fait en 2015.
NDLR: Révélations traduites de l'anglais par notre redaction.

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-Ce dont jai le plus peur, cest des gens qui croient que, du jour  au lendemain, on peut prendre une société, lui tordre le cou et en faire une autre.
-The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.
-I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.
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"Ce dont j’ai le plus peur, c’est des gens qui croient que, du jour au lendemain, on peut prendre une société, lui tordre le cou et en faire une autre."

“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

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