Le Président Macron a fait la France l'épicentre de la propagande des groupes Tutsi et Français ayant l'objectif de dissimiler la vérité sur le génocide Rwandais. Nous avons Ibuka, L'Association de la Diaspora Rwandaise en France, L'Association de la Communauté Rwandaise en France, Le Collectif des parties civiles pour le Rwanda, etc, etc. Tous ces groups sont dirigés et organisés par les Tutsi et font croire qu'ils regroupent tous les Rwandais. Malgré le petit nombre des membres de ces groupes, ils sont dénommées sous l'appellation « rwandais » pour faire croire grouper tous les Rwandais vivant en France. En effet, tout le monde sait bien que " diaspora rwandaise" signifie " tutsi vivant a l'etranger". Ces groupes ont la liberte en France au moment ou la liberte au Rwanda n'existe pas.
Ces groupes travaillent pour influencer la justice française, pour l'empêcher de raisonner, de juger en toute independence, pour pleurer indéfiniment le génocide des Tutsi. Le slogan génocide des Tutsi est un nouveau véhicule de la monarchie Tutsi qui a conduit au génocide Rwandais. Le génocide des Tutsi signifie la supériorité des Tutsi par rapport aux Hutus ( les tueurs). Cette supériorité était à la base des institutions monarchiques rwandaises qui sont maintenant en train d'être revalorisées sous le slogan génocide des Tutsi.
La France est accusée d' avoir participé dans le génocide rwandais. Un jour, elle sera accusée de promouvoir le génocide des Tutsi qui est destinée à faire peur aux Hutus, promouvoir la discrimination et l'apartheid au sein de la société rwandaise, maintenir le régime de Kagame et faire oublier la guerre meurtrière initiée par les Tutsi et qui a conduit au génocide rwandais. Tous ces groupes rwandais opérant en France et ailleurs, les media et les ONG français travaillent sans relâche pour faire comprendre à tout le monde que tout a commencé en 1994.
Ils ne dorment pas. Le seul objectif : Ignorer la guerre rwandaise en la dissimilant dans le génocide rwandais.
COMMUNIQUE DE PRESSE DE LA COMMUNAUTE RWANDAISE DE FRANCE
- Rwanda podium
L'Association Communauté Rwandaise de France saisit le Parquet de Nanterre pour demander l'identification, la poursuite et le jugement de celles et ceux qui ont permis à Félicien KABUGA d'échapper à la justice
L'Association Communauté Rwandaise de France saisit le Parquet de Nanterre pour demander l'identification, la poursuite et le jugement de celles et ceux qui ont permis à Félicien KABUGA d'échapper à la justice
L'Association Communauté Rwandaise de France (CRF) se réjouit de l'arrestation de Félicien KABUGA, inculpé de génocide et de six autres chefs d'accusation, tous commis pendant le génocide contre les Tutsis au Rwanda.
L'Association a pris connaissance du communiqué conjoint de la Gendarmerie Nationale, du Parquet Général auprès de la Cour d'appel de Paris et de l'Office Centrale de Lutte contre les Crimes contre l'Humanité qui indique que Félicien KABUGA a pu se soustraire à la justice pendant de longues années grâce à l'aide dont il a pu bénéficier. Elle considère qu'il n'est pas à exclure que Félicien KABUGA ait pu bénéficier également de l'aide, d'individus, d'institutions ou organismes pour se procurer des documents d'identité et de voyage, se faire soigner, voyager, etc, puisqu'il est établi d'ores et déjà qu'il a pu voyager dans plusieurs pays, bénéficier de soins médicaux, etc…
Ce faisant, ces individus, institutions ou organismes ont privé, pendant plusieurs années, de justice des citoyens français ou résidant en France, victimes du Génocide contre les Tutsis ou à leurs ayant-droits. Ils ont, par ailleurs, mobilisé, pendant des années, les forces de l'ordre et les services de la justice en charge de l'exécution du mandat d'arrêt international dont Félicien KABUGA faisait l'objet, causant ainsi un préjudice au contribuable français.
Le recel de malfaiteur étant une infraction prévue et punie par la loi française, l'association Communauté Rwandaise de France a déposé ce jour, auprès de Madame Catherine Denis, Procureure de la République de Nanterre, une plainte afin que soient identifiés, poursuivis et jugés celles et ceux qui, en France et ailleurs, ont fourni à Félicien KABUGA un logement, des subsides, des moyens d'existence ou tout autre moyen qui lui a permis de le soustraire aux recherches ou à l'arrestation.
Paris, le 22 mai 2020
Angélique INGABIRE
Présidente de la CRF
diasporwanda@gmail.com