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Monday 27 July 2020

Re: *DHR* Incendie de la cathédrale de Nantes : Emmanuel ABAYISENGA, bénévole impliqué au parcours cabossé


Il était l'un des sept gardiens des clés de la cathédrale. Emmanuel Abayisenga, 39 ans, était chargé de fermer les portes, la veille de l'incendie. Le lendemain, Saint-Pierre-et-Saint Paul partait en fumée. Pourtant, aucun signe d'effraction n'avait été constaté par les enquêteurs. Cette paroisse, il la fréquente depuis quatre à cinq ans et aide parfois à la liturgie. Cela fait huit ans que cet homme d'origine rwandaise serait arrivé en France. Il était hébergé par le diocèse, dans le couvent franciscain de Canclaux, dans le centre-ville de Nantes.
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Le bénévole du diocèse suspecté a finalement avoué être à l'origine de l'incendie de la cathédrale de Nantes. Cet homme de 39 ans a été mis en examen et placé en détention ...www.ouest-france.fr
Le bénévole du diocèse suspecté a finalement avoué être à l'origine de l'incendie de la cathédrale de Nantes. Cet homme de 39 ans a été mis en examen et placé en détention provisoire dans la nuit du samedi 25 au dimanche 26 juillet 2020.
https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/incendie-de-la-cathedrale-de-nantes-emmanuel-benevole-implique-au-parcours-cabosse-6919071 
Ouest-France
Julie ECHARD., Publié le 26/07/2020 à 22h04

Incendie à la cathédrale de Nantes: le procureur dévoile des détails de l'enquête
Après la mise en examen et le placement en détention provisoire d'Emmanuel Abayisenga, dans le cadre de l'enquête sur l'incendie de la cathédrale de Nantes, le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès, a confié à Ouest-France de nouveaux éléments de l'investigation, ce dimanche 26 juillet.
Pierre Sennès, procureur de la République de Nantes. | ARCHIVES JÉRÔME FOUQUET/OUEST-FRANCE

Après la mise en examen et le placement en détention provisoire d'Emmanuel Abayisenga, dans le cadre de l'enquête sur l'incendie de la cathédrale de Nantes, le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès, a confié à Ouest-France de nouveaux éléments de l'investigation, ce dimanche 26 juillet.

Cet homme de 39 ans était bénévole au sein du diocèse et avait déjà été placé une première fois en garde à vue le week-end dernier. Il a reconnu les faits.


Quels éléments de l'enquête vous ont finalement permis de relier le bénévole mis en examen cette nuit à l'incendie qui a frappé la cathédrale de Nantes ?

Sa première garde à vue, samedi 18 juillet 2020, avait permis de l'interroger sur un certain nombre de points, notamment son emploi du temps. Après ses déclarations, il y a eu un travail considérable de la police judiciaire pour les vérifier et les corroborer. On a constaté qu'il y avait un certain nombre d'éléments qui étaient divergents par rapport à ce qu'il nous avait déclaré.

À ceci, sont venus s'ajouter les premiers résultats du laboratoire de la préfecture de police de Paris, qui nous ont orientés de plus en plus vers une piste criminelle.

La conjonction de tous ces éléments, entre lundi 20 juillet et samedi 25 juillet 2020, a donné une nouvelle orientation à l'enquête.

On a pu déterminer qu'il était dans le secteur de la cathédrale, le matin, dans le créneau horaire où le feu s'est déclaré, grâce à des caméras installées aux alentours de l'édifice, celui-ci n'en étant pas doté.

On a constaté, sur deux des trois sites où ont eu lieu des départs de feu, des éléments troublants, qui pouvaient corroborer une intervention extérieure et un geste criminel. On a retrouvé, par exemple, un produit inflammable, qui pourrait avoir été utilisé pour allumer l'incendie.

Pourquoi avoir remis le suspect en liberté, le week-end dernier ?

Il a été remis en liberté car, au terme de cette première garde à vue, nous avions considéré qu'il n'y avait pas d'éléments à charge suffisants pour engager les poursuites. Ce n'était pas du tout une stratégie d'enquête.
Mais cela nous a permis de recueillir longuement ses explications et de pouvoir ensuite les vérifier. Puis, un travail a commencé pour s'assurer de la pertinence des éléments qu'il nous avait donnés.

Il était bien sous le coup d'une obligation de quitter le territoire français ?

Son obligation de quitter le territoire français était établie. Il avait également des problèmes de santé, d'ordre physique, et a essayé de faire régulariser sa situation en raison de cet état de santé.

Qu'en est-il des e-mails qu'il aurait envoyés concernant sa demande de nationalité française ?

Le suspect avait effectivement adressé un e-mail au diocèse, ainsi qu'aux autorités administratives, dans lequel il se plaignait fortement de sa situation administrative. Il y exprimait des reproches auprès de différentes personnalités, considérant qu'il n'était pas soutenu et qu'on ne l'aidait pas assez dans ses démarches administratives.

Comment un homme très impliqué dans la vie du diocèse aurait-il pu en arriver là ?

Comment on en arrive là, ce n'est pas tout à fait clarifié. Il est certain que le juge d'instruction devra ordonner une expertise psychiatrique. C'est une étape indispensable pour en savoir un peu plus sur ses motivations et son état d'esprit. Le résultat sera intéressant.

Concernant ses motivations, les explications ont pour l'instant été très superficielles et encore un peu confuses.

Quelle est la prochaine étape de la procédure ?

Le juge d'instruction va prendre la direction de l'enquête. Il va délivrer une commission rogatoire à la police judiciaire. Il y a encore du travail à accomplir, notamment au niveau de la police technique et scientifique. Dès qu'il le pourra, le laboratoire de la préfecture de police accédera à l'orgue. On va continuer un travail minutieux de constatations, de prélèvements et d'analyses en laboratoire, dès que l'on pourra le faire sur le secteur où se trouvait l'orgue.

Ensuite, il pourrait y avoir de nouvelles auditions et de nouvelles investigations faites par la police judiciaire, à la demande du juge d'instruction.

Je tiens à saluer le travail impressionnant de la police judiciaire. Ils ont mis de gros moyens et il y a eu un investissement très fort des enquêteurs, qui ont fait preuve d'un grand professionnalisme. Ils ont fait un travail considérable, dans un temps très réduit. C'est cela qui permet d'avoir une solution à cette affaire. Mais il faut encore attendre, la procédure n'est pas terminée.

Compte tenu de l'émotion suscitée par cet incendie, tout le monde était mobilisé et avait à cœur que l'enquête aboutisse.


https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/info-ouest-france-incendie-a-la-cathedrale-de-nantes-le-procureur-devoile-des-details-de-l-enquete-6918750
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Pierre Sennès, procureur de la République de Nantes, donne à « Ouest-France » de nouveaux éléments de l'enquête sur l'incendie de la cathédrale de Nantes, après la mise en examen et ... www.ouest-france.fr
Après la mise en examen et le placement en détention provisoire d'Emmanuel Abayisenga, dans le cadre de l'enquête sur l'incendie de la cathédrale de Nantes, le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès, a confié à Ouest-France de nouveaux éléments de l'investigation, ce dimanche 26 juillet.
Ouest-France
Estelle CHOTEAU et Julie ECHARD.
Publié le 26/07/2020 à 12h12
27.07.2020
Ildephonse Murayi-Habimana

Onderwerp: Incendie dans la cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul de Nantes : le Rwandais bénévole, écroué, a reconnu les faits
 
Bene Kanyarwanda ( Ba Rwandais ! ) turarutanze !
Comme si ce dont on nous accuse ne suffisait pas, nous commençons maintenant à brûler les cathédrales en Europe ( i Burayi ) !
Ba Rwandais !
Mana y'u Rwanda wagiye he ?
L'homme âgé de 39 ans avait été placé en garde à vue une première fois quelques heures après l'ouverture de l'enquête, le 18 juillet 2020, puis remis en liberté le lendemain soir.
Faits divers. Incendie dans la cathédrale de Nantes : le bénévole, écroué, a reconnu les faits
Dimanche 26 juillet 2020 à 07:04 | mis à jour à 07:57 | Vu 6044 fois
Le feu avait notamment détruit un tableau d'Hippolyte Flandrin du XIXe siècle et le grand orgue. Photo Fanny ANDRE/AFP
Une semaine après l'incendie dans la cathédrale de Nantes, la piste criminelle est désormais privilégiée et un bénévole du diocèse, un temps interpellé puis relâché, a été mis en examen et placé en détention provisoire dans la nuit de samedi à dimanche pour destructions et dégradations par incendie.
L'homme "regrette amèrement les faits"
"Mon client a coopéré", a affirmé au quotidien Presse-Océan l'avocat du mis en examen, Me Quentin Chabert.

"Il regrette amèrement les faits et évoquer cela a été pour lui une libération. Mon client est aujourd'hui rongé par le remords et dépassé par l'ampleur qu'ont pris les événements", assure-t-il.

L"homme "a reconnu, lors de l'interrogatoire de première comparution devant le juge d'instruction, avoir allumé les trois feux dans la cathédrale: sur le grand orgue, le petit orgue et dans un panneau électrique", a précisé le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès, au quotidien.

Cet homme de 39 ans était chargé de fermer la cathédrale la veille de l'incendie. Il s'agit "d'un Rwandais, venu se réfugier en France il y a quelques années", avait expliqué la semaine dernière le recteur de la cathédrale de Nantes, le père Hubert Champenois.

Selon le recteur, le bénévole est "servant d'autel" et il le connaissait "depuis quatre ou cinq ans".
"J'ai confiance en lui"
"J'ai confiance en lui comme en tous les collaborateurs", avait-il expliqué.

Le bénévole avait été placé en garde à vue quelques heures après l'ouverture de l'enquête, le 18 juillet, puis remis en liberté le lendemain soir. Les enquêteurs souhaitaient l'interroger car après l'incendie aucune trace d'effraction n'avait été constatée sur les accès à l'édifice dans lequel trois points de départ de feu avaient été constatés.

Le feu avait notamment détruit un tableau d'Hippolyte Flandrin du XIXe siècle et le grand orgue.
Dans le cadre de cette enquête, "plus de trente personnes"ont été entendues et une vingtaine d'enquêteurs de la police judiciaire ont été mobilisés, avec notamment le renfort du laboratoire central de la préfecture de police de Paris, afin de déterminer la cause de l'incendie, a expliqué dans un communiqué samedi soir le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès ..
"Les premiers résultats communiqués par le laboratoire central de la préfecture de police de Paris amènent à privilégier la piste criminelle", a-t-il ajouté.
Le bénévole a été de nouveau interpellé et placé en garde à vue tôt ce samedi 25 juillet 2020 matin et présenté dans la soirée au parquet de Nantes qui a ouvert une information judiciaire. L'homme encourt une peine de 10 ans d'emprisonnement et 150 000 euros d'amende.
Abatabizi bicwa no kutabimenya.
Nikozitambirwa
26.07.2020
Ildephonse Murayi-Habimana
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Envoyé par : Ildephonse MURAYI-HABIMANA <imurayi@yahoo..fr>



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“Uwigize agatebo ayora ivi”. Ubutegetsi bukugira agatebo ukariyora uko bukeye n’uko bwije.

"Ce dont j’ai le plus peur, c’est des gens qui croient que, du jour au lendemain, on peut prendre une société, lui tordre le cou et en faire une autre."

“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

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