La plannification et l'exécution du génocide des Hutus par Bill Clinton et Paul Kagame sont une réalité!
N'oubliez jamais cela!
Extrait de "la vérité sur le génocide rwandais".
... "Donc, il est difficile voire même impossible de nier que c'est cette théorie, ce racisme et la volonté extrêmes, de vouloir détruire en tout ou en partie les peuples Bantous de la région des Grands Lacs Africains, qu'a exprimée Daniel SIMPSON, Ambassadeur des Etats-Unis au Zaïre, 1995 – 1998, quand Washington a refusé carrément que les Hutus soient secourus et que le Zaïre soit calme et ça depuis 1995 jusqu'à maintenant.
Dans ce documentaire[ E_] à la 13e min, Daniel affirme: «Toute force internationale qu'on aurait envoyée au Zaïre vers la fin de 1996, pour quelques motifs que se soient, même pour secourir les (2.000.000) réfugiés ou de calmer tout simplement la situation, auraient servi au renforcement de l'autorité de Mobutu. C'est cela que la France voulait. Nous ne le voulions pas». Tout le monde connaît la suite: plus 500.000 réfugiés Hutus et plus de 6.000.000 Bantous congolais exterminés. L'extermination continue à ce jour ! Si, si et seulement si les États-Unis n'avaient pas empêché les Français de secourir les 2.000.000 de réfugiés hutus, les 500.000 parmi eux n'auraient pas été exterminés. Et si les États-Unis avaient accepté et voulu que la situation au Congo soit calme et ce depuis 1996 jusqu'à ce jour, les plus de 6.000.000 congolais bantous n'auraient pas été anéantis par Kagame et ses alliés et, il n'y aurait plus d'insécurité qui y sévisse aujourd'hui.
Qu'avait fait Mr Mobutu aux Américains pour qu'ils le haïssent de la sorte ? RIEN. Etait-il Mr Ben Laden ? NON. À ce moment-là même Mr Mobutu était gravement malade. Il était un mourant du cancer de la prostate et la CIA le savait bien. Pourquoi ne pas attendre sa mort certainement très proche ? Pourquoi les Américains ne voulaient-ils pas que la situation se calme et que les Français portent secours aux réfugiés ? … Eh oui c'est parce qu'il y a un plan d'extermination des Bantous et, comme l'affirme Mr Pierre Péan dans son livre CARNAGES, l'armée américaine à ce moment-là précis participait activement à l'anéantissement de ces «sous-humains». [ F] «"Pas d'objection à l'anéantissement. Selon les documents ougandais et rwandais, des avions américains seront spécialement affectés à la traque des Hutus qui se cachent dans les forêts (Report 678 ref 567/JL/RW/UG) :" Il a été conclu que les forces aériennes américaines enverront 3 P-3 Orion Propeller Planes à Entebbe. Ils opéreront pendant la journée d'Entebbe au Zaïre, à la recherche des Hutus qui se cachent dans les forêts. Les avions seront équipés de trois équipements [il s'agit en réalité de trois spécialistes chargés de contrôler une cinquantaine d'ordinateurs] destinés à traquer les mouvements des gens sur le terrain. " Concoctés par Paul Kagamé, les plans d'attaque et de démantèlement des camps de réfugiés hutus dans l'ex-Zaïre sont présentés aux Américains pour approbation, comme le montre une note (Plan 67 ref 67/JL/RW/ZR) : " Les plans visant à attaquer les Hutus dans l'est du Zaïre ont été finalisés. Octobre et novembre 1996 sont les meilleurs mois pour l'opération. L'ONU sera engagée dans le processus de fournir les prochaines livraisons de vivres et nous saboterons ce processus. " Une réunion entre services ougandais et rwandais (Crisis 80/L ref 78/RW. Doc) définit le modus operandi d'une action dans laquelle 30 soldats rwandais vont monter une attaque déguisés en miliciens hutus : " Il y a besoin de liquider les Hutus Interahamwe [miliciens impliqués dans le génocide de 1994] dans l'est du Zaïre. Nous avons pénétré les camps de réfugiés de Katale et Kahindo. Nous allons aider le Rwanda à exécuter l'opération afin de forcer l'ONU à fermer les deux camps. Opération : 30 soldats de l'APR vont déclencher une attaque contre les autochtones zaïrois en se faisant passer pour Interahamwe. On procédera à la destruction de leurs propriétés. Une attaque similaire avec armes à feu sera mise en œuvre aux heures de nuit au Rwanda. Le gouvernement du Rwanda devra alors se plaindre auprès de l'ONU. Si l'ONU est lente à réagir, une opération sans annonce préalable se perpétrera alors et anéantira toutes les milices hutues se trouvant dans ces camps. L'opération d'anéantissement est approuvée sans aucune objection».
Le 1er octobre 2010, l'ONU concluait que ces carnages étaient bel et bien un crime contre l'humanité voire un génocide [ G]. «Dans la section consacrée au crime de génocide, le rapport conclut : « Les attaques systématiques dans presque tout le pays… lesquelles visaient un très grand nombre de réfugiés hutus du Rwanda et de membres des populations civiles hutues, se traduisant par leur extermination, révèlent un grand nombre de circonstances aggravantes qui, si elles devaient être prouvées devant une cour compétente, pourraient alors être qualifiées de crimes de génocide » (paragr. 517) [9]. Comme l'expliquait Luc Cote, ancien investigateur et directeur du bureau légal au Tribunal Pénal International pour le Rwanda (TPIR) : « Pour moi, c'était ahurissant, je voyais au Congo une manière de procéder que j'avais déjà observée au Rwanda. C'était la même chose. Il y a des dizaines et des dizaines d'incidents où on retrouve la même manière de procéder. C'était fait de façon systématique » [10]. Mais ce n'était pas la première fois qu'on dénonçait à l'ONU les opérations génocidaires de Kagamé au Rwanda et en RDC. Bien avant l'enquête de 1997 évoquée ci-dessus, l'exposé de Robert Gersony devant l'ONU, en 1994 —dont la version écrite a pu être conservée— faisait déjà état de « massacres systématiques sur de longues périodes et de persécutions de populations civiles Hutues par le [FPR] », dans le Sud du Rwanda entre avril et août 1994, ainsi que de « massacres indiscriminés à grande échelle, d'hommes, de femmes et d'enfants, malades et vieillards compris… ». Dans ce rapport, Gersony estimait entre 5 000 et 10 000 le nombre des hutus exterminés chaque mois depuis avril 1994. « Il apparaissait que la grande majorité des hommes, des femmes et des enfants qui étaient tués dans ces opérations, ne l'étaient que parce que le hasard les avait fait tomber entre les mains du [FPR.] » [11].» Avant qu'il ne soit assassiné le 16 mai 1998 pour avoir osé dénoncer ce plan d'extermination, l'ancien ministre de la sécurité intérieure et de l'administration territoriale du régime Kagame, Seth Sendashonga avait confirmé ces rapports de l'ONU et laissé ce message historique dans un documentaire [ H ]. De la 6e min 50 sec – 15emin : «Ce qui est ici sur la table ce sont des listes de personnes tuées par l'Armée Patriotique Rwandaise après sa prise du pouvoir en Préfecture de Gitarama. … Et j'ai fait le total de tout ça, ça fait 18.000 personnes tuées dans la seule préfecture de Gitarama. J'ai été membre du FPR depuis avril 1991. Je connais beaucoup de choses à propos de massacres commis par l'APR. Le FPR voulait asseoir sa suprématie, et pour cela il fallait éliminer tout concurrent potentiel. On a connu et c'est surtout de ça que je parle maintenant de ces cas où l'armée va chercher des jeunes gens, généralement à partir de 15 ans jusqu'à des hommes vieux de 55 ans qu'elle enlève de nuit et qui ne sont plus revues… Donc ce sont des personnes qui ont été assassinées par l'APR. Disons que le pattern général est qu'on s'en prenait d'abord à des jeunes gens et des monsieur capables encore et en âges d'activités mais aussi et surtout les leaders, les instituteurs, les moniteurs agricoles… et tout le monde qui pourrait jouer un rôle quelconque au titre d'intellectuel ou bien de leader d'opinion était visé tout à fait particulièrement.»
La preuve accablante de l'existence du plan de destruction en tout ou en partie le Peuple Hutu et des Bantous est que cette extermination se faisait au vu et au su de l'armée américaine, gendarme du monde, voire même sous sa supervision telle que l'a écrite P. Péan et témoignée par Mr. Remigius Kintu Devant le TPIR [ I]."...
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