Pages

Saturday, 2 January 2016

[haguruka.com] Le passé pour comprendre le présent : Comment la Belgique a poignardé le président rwandais Juvenal Habyarimana au dos

 

Le passé pour comprendre le présent : Comment la Belgique a poignardé le président rwandais Juvenal Habyarimana au dos

Save
C'était avant 1990, le président Juvenal Habyarimana n'avait aucun doute sur le partenariat amical et sincère entre son gouvernement et la Belgique. Par ailleurs ne sont-ils pas les belges qui étaient presque partout comme experts ou coopérants dans différents services étatiques rwandais y compris l'armée ?
Nous sommes le 01 octobre 1990, le Rwanda est attaqué par le FPR, le président Habyarimana se trouvant à New-York décide de rentrer précipitamment au Rwanda. Il fait un escale à Bruxelles pour persuader les autorités belges  qu'il croyait traditionnellement amies, de l'appuyer pour repousser les agresseurs. C'est là où il  comprend que les belges sont des belges. Non seulement il n'a pas obtenu l'aide qu'il voulait, mais aussi il n'a même pas pu obtenir du gouvernement belge, la livraison des munitions que le gouvernement rwandais avait commandé et payé longtemps avant l'attaque du FPR.
Ce refus belge d'honorer une commande payée, alors que le Rwanda en avait désespérément besoin pour se défendre, constituait le premier coup de poignard belge au dos de Habyarimana. Mais ce que Habyarimana n'avait compris, c'est que Bruxelles était devenue le quartier général ou l'état-major diplomatique et médiatique de ses agresseurs, exactement comme le cas actuel avec  gouvernement  de Pierre Nkurunziza. 
Trois ans plutard, le conseil de sécurité des nations unies  autorise l'envoi des casques bleus au Rwanda la MINUAR. Curieusement et cyniquement, les belges ont tout fait pour faire partie de cette mission, juste pour parachever leur plan. Par strategie, le contingent belge commandé par  le colonel  Luc Marchal a été affecté dans le secteur de Kigali et ses environs,  y compris l'aéroport de Kanombe. La suite,  tout le monde la connaît, Habyarimana fût poignardé pour la seconde fois, et ce, fatalement et définitivement. 
De façon similaire, nous remarquons que la Belgique s'active énormément pour qu'il y ait envoi des militaires étrangers au Burundi. Est-ce le même poignard belge qui plane  au-dessus du dos de Pierre Nkurunziza ? 
Wait and see. 

__._,_.___

Posted by: Samuel Desire <sam4des@yahoo.com>
Reply via web post Reply to sender Reply to group Start a New Topic Messages in this topic (1)
___________________________________________________
-Ce dont jai le plus peur, cest des gens qui croient que, du jour  au lendemain, on peut prendre une société, lui tordre le cou et en faire une autre.
-The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.
-I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.
-The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.
=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=--=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-
-To post a message: haguruka@yahoogroups.com; .To join: haguruka-subscribe@yahoogroups.com; -To unsubscribe from this group,send an email to:
haguruka-unsubscribe@yahoogroups.com
_____________________________________________________
-More news:  http://www.haguruka.com

https://www.facebook.com/haguruka

https://www.facebook.com/musabeforum

http://www.musabe.com/
--------------------------------------------------------------------------------------
-SVP, considérer  environnement   avant toute  impression de  cet e-mail ou les pièces jointes.
======
-Please consider the environment before printing this email or any attachments.
--------------------------------------------------------------------------------------

.

__,_._,___

No comments:

Post a Comment

Note: only a member of this blog may post a comment.

“Uwigize agatebo ayora ivi”. Ubutegetsi bukugira agatebo ukariyora uko bukeye n’uko bwije.

"Ce dont j’ai le plus peur, c’est des gens qui croient que, du jour au lendemain, on peut prendre une société, lui tordre le cou et en faire une autre."

“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile."

KOMEZA USOME AMAKURU N'IBITEKEREZO BYA VUBA BYAGUCITSE:

RECOMMENCE

RECOMMENCE

1.Kumenya Amakuru n’amateka atabogamye ndetse n’Ibishobora Kukugiraho Ingaruka ni Uburenganzira Bwawe.

2.Kwisanzura mu Gutanga Ibitekerezo, Kurwanya Ubusumbane, Akarengane n’Ibindi Byose Bikubangamiye ni Uburenganzira Bwawe.