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Monday 30 December 2013

Des Rwandaises battent le rythme de la réconciliation dans les Grands Lacs

La musique adoucit les mœurs… et rapproche les peuples. C’est en somme l’idée qui préside à la troupe de percussionnistes rwandaises Ingoma Nshya, un groupe qui défie les idées reçues. Composée uniquement de femmes alors que cette discipline est traditionnellement réservée aux hommes, elle réunit aussi des Tutsies et des Hutues. Leur musique véhicule une image de réconciliation dans un pays encore marqué par le génocide, mais également dans la région meurtrie du Kivu en RDC, où elles viennent de se produire.

La troupe est composée de 20 femmes. Elles jouent sur une douzaine de tambours différents, des rythmes traditionnels rwandais, mais également burundais ou sénégalais, et ont créé au fur et à mesure leurs propres enchaînements. Les femmes d’Ingoma Nshya proposent des spectacles chorégraphiés, où elles interprètent des chansons en kinyarwanda, une des langues officielles du Rwanda. Le dernier en date s’est tenu au festival Buzz’art de Goma mi-décembre.


La suite :


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“Uwigize agatebo ayora ivi”. Ubutegetsi bukugira agatebo ukariyora uko bukeye n’uko bwije.

"Ce dont j’ai le plus peur, c’est des gens qui croient que, du jour au lendemain, on peut prendre une société, lui tordre le cou et en faire une autre."

“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile."

KOMEZA USOME AMAKURU N'IBITEKEREZO BYA VUBA BYAGUCITSE:

RECOMMENCE

RECOMMENCE

1.Kumenya Amakuru n’amateka atabogamye ndetse n’Ibishobora Kukugiraho Ingaruka ni Uburenganzira Bwawe.

2.Kwisanzura mu Gutanga Ibitekerezo, Kurwanya Ubusumbane, Akarengane n’Ibindi Byose Bikubangamiye ni Uburenganzira Bwawe.